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J’ai encore la vieille VHS de ce documentaire diffusé en 1994 sur Canal +. Sûrement l’un des meilleurs doc français consacré à cette culture dans lequel on retrouve le Wu-Tang Clan, Lord Jamar, Chuck D, Guru (RIP), Supernatural, Last Poets, Afrika Bambaataa. Alors pour ceux qui n’avait jamais vu ce doc…enjoy! |
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Moi qui collectionais les VHS d’émissions consacrées au rap depuis des années, je n’avais jamais eu l’occasion de voir ses images. Voici donc quelques lives tirés de l’émission Uptown Comedy Club diffusés sur la chaîne B.E.T début 90’s avec au programme, The Pharcyde, Krs-One, Wu-Tang, Redman, Grand Puba, Double XX Posse, Trendz Of Culture, Gangstarr, Kool G Rap...bref des grands noms!
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Retour sur les origines du hip-hop, son esprit contestataire et ses expressions de par le monde. Un voyage musical exaltant où l’art rencontre la politique.
Hip-hop, le monde est à vous C’est dans le Bronx des années 1970 qu’est né le hip-hop. Rapidement, ce mouvement culturel protéiforme, porté par la communauté afro-américaine, trouve dans la musique son expression la plus éloquente : à côté des initiateurs du break dance et des graffeurs, la figure du MC (maître de cérémonie) subjugue les artistes en herbe. « Le rap a commencé avec de simples mots lancés comme ça. Les mots se sont transformés en phrases, les phrases en vers, les vers en paragraphes et la rime était née », se souvient Grandmaster Caz, membre des légendaires Cold Crush Brothers. Dans le sillon des pionniers américains, le hip-hop se répand aux quatre coins du monde.
UN POUVOIR FÉDÉRATEUR Des États-Unis au Sénégal en passant par la France, l’Allemagne et la Palestine, Joshua Atesh Litle a sillonné quatre continents à la rencontre d’artistes unis par la passion du hip-hop. D’interviews en vidéos musicales originales – dont certaines n’auraient jamais vu le jour sans l’appui du réalisateur –, ce documentaire au rythme enlevé montre comment, d’un pays à l’autre, les rappeurs en devenir se sont saisis de ce langage protestataire pour mettre en chansons les maux de la société, qu’ils touchent au racisme, à l’intégration, à la guerre ou à la misère. Mais par-delà les problématiques nationales et les différences culturelles, brillamment mises en perspective, c’est le pouvoir fédérateur du hip-hop, érigé en langue universelle – dont témoignent en Cisjordanie le succès de Shadia Mansour ou encore la formation de System Ali, un collectif de rappeurs juifs et musulmans –, qui bat la cadence de ce voyage exaltant où l’art rencontre la politique. + D’INFOS ICITHANKS Isabelle! |
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Raekwon & Ghostface étaient les invités de Jimmy Felon dans son émission Late Night. Comme d’hab’ The Roots en BackBand! « Shaolin Vs Wu-Tang » toujours programmé le 8 mars dans les bacs. POUR TÉLÉCHARGER LA VERSION AUDIO C’EST ICI
thanks VV |
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Pour ceux qui ont loupé la diffusion de ce doc sur Arte! Département emblématique des banlieues françaises, la Seine-Saint-Denis, étiquetée du médiatique label 9-3, incarne depuis le début des années 1960 le cliché d’une jeunesse en colère, stigmatisée comme graine de « voyous » ou plus récemment de « racailles ». Une image à laquelle le réalisateur Jean-Pierre Thorn a décidé de tordre le cou en redonnant toute sa valeur à un demi-siècle de contre-culture musicale, et aux voix souvent réprimées d’un territoire en perte d’identité, mais jamais en mal de vitalité… Du concert mythique de la Nation en 1963 au slam d’aujourd’hui en passant par le punk et bien sûr la grande vague hip-hop, le documentaire retrace les différentes étapes d’une résistance musicale intimement liée à la réalité sociale et populaire dont elle est issue. Une épopée racontée par quelques-uns de ceux qui en ont fait la richesse et la créativité : Daniel Boudon, chaudronnier et batteur d’un groupe rock au début des années 1960, Marc Perrone, promoteur du folk dix ans plus tard et précurseur du slam, Loran de Bérurier Noir, icône de la génération punk, DJ Dee Nasty, artisan de la culture hip-hop française, la rappeuse Casey, associé au rockeur radical de Zone Libre (ex-Noir Désir) et le slameur D’ de Kabal. De larges extraits de concerts (NTM, Bérus…) et des archives percutantes racontent ainsi l’histoire d’une banlieue minée par une politique urbaine anarchique, des mutations industrielles successives, la désillusion politique et l’indifférence, voire l’agression, des pouvoirs publics : un terreau fertile, où culture et pensée ne cessent de se réinventer. |
Je viens de capter ça sur Facebook, des images de Biggie en live dans l’émission The Grind sur MTV. C’est la première fois que je vois cette version live de « Big Poppa« . J’en profite pour vous mettre 2 autres versions dans d’autres émissions TV ainsi qu’une version live de « Juicy« .
(visuel by OktayOe)
R.I.P |
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Je profite de la mise en ligne il y a 2 jours du projet SKILLZ #1 pour revenir sur la pratique du freestyle filmé en télé remis au goût du jour l’année dernière par les B.E.T Cypher. Voici les premières images de la cuvée 2010 avec Primo aux platines :
L’émission Rap City diffusée entre 1989 et 2008 sur la chaîne B.E.T comportait une rubrique appelée « freestyle booth« ou l’animateur Big Tigger recevait la crème du Rap US pour des sessions freestyle. Vous trouverez ci-dessous une sélection de plusieurs vidéos de cette fameuse rubrique avec Mobb Deep, Redman, Method Man, Rah Digga, Jay-Z, Royce Da 5’9, Raekwon, Ghostface, Terror Squad, Onyx..
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